Ça fait un peu "recette du placard de ELLE", mais au contraire, là, c'est pas vite fait bien fait, c'est plutôt plus c'est long plus c'est bon...(mouais). Si on a des invités morts de faim, évidemment il vaut mieux qu'ils aient plein de trucs à se raconter, ou alors il faut s'être mis à cuisiner longtemps à l'avance, ou, encore mieux, comme ce soir, il faut ouvrir une bonne bouteille pour occuper sérieusement la galerie. En l’occurrence, un rosé de "La Sorga", "ATARAXIA".
Un truc vraiment très très bon, vinifié par un "fou", (j'ai passé une soirée mémorable avec lui et JJ jusqu'à pas d'heure chez VIVANT, donc je peux en attester...), j'ai nommé : Antony TORTUL.
Grenache, Merlot, Syrah et Chardonnay. Et oui, tout ça...
Hummm, c'est bon....
Bon, revenons aux fourneaux. C'est pas très compliqué. Il faut juste mettre à "infuser" dans de l'huile d'olive du laurier, du piment d'espelette, des oignons nouveaux qui traînent dans le bac à légumes et des lamelles d'ail...
...puis laisser le tout à feu très doux le plus longtemps possible (disons quarante cinq minutes). Et ajouter de la courgette taillée en bâtonnet de la taille (a peu près) des pâtes (des penne, donc)...
...et laisser compoter, à couvert, encore une bonne vingtaine de minutes. Ça fait déjà 45 + 20 = 65 minutes ! (oui mais quand on aime l'ail grillé/confit, c'est parfait !).
Évidemment, 10 minutes après avoir ajouté les courgettes, on aura mis à chauffer une grande quantité d'eau salée comme la méditerranée et on aura mis à cuire les pâtes (penne = 11 minutes à rajouter aux minutes précédentes = un total de 76 minutes !). Puis quand les pâtes sont cuites, on les jette dans la poêle avec un peu d'eau de cuisson, et on mélange à feu vif une ou deux minutes. C'est prêt. Servir à l'assiette avec un filet d'huile d'olive et un tour de moulin à poivre.
Et ouvrir une deuxième bouteille.
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